> L’attachement reste un terme ambivalent. Connoté de bonnes intentions, il peut abriter aussi de redoutables mécanismes qui amputent la liberté de l’enfant en particulier. Personne ne nous appartenant, il convient de raisonner au nom d’une juste distance pour que la saine protection soit au rendez-vous. Histoire de ne pas « posséder » la chair de sa chair…