De nos jours, il y a toujours une jolie occasion et une bonne raison de vouloir mincir. Côté santé, c’est plutôt bien. Quant au désir d’entretenir sa ligne, indépendamment du souci de l’apparence esthétique, il constitue un moteur efficace sur un plan personnel et professionnel. Tout irait donc pour le mieux si les régimes anarchiques ne venaient pas perturber le métabolisme, ce groupe de transformations moléculaires et énergétiques dont l’équilibre et le bon fonctionnement sont indispensables à la bonne marche de l’organisme. Certes, la notion de métabolisme renvoie aux dépenses énergétiques de tout individu mais dans une juste proportion. Sans parler du dérèglement hormonal en jeu chez l’anorexique, certains de nos concitoyens ne réalisent pas vraiment aujourd’hui qu’ils se mettent en danger à plus ou moins long terme. Ainsi mincir doit-il rester en lien avec la notion de plaisir. Les nutritionnistes le confirment : la composition d’une assiette avec des mets que l’on apprécie rassasie plus rapidement, l’imagination se déclenchant de façon positive et non punitive. Même comportement à adopter avec les saveurs. Sans oublier qu’il est essentiel de garder en fin de repas le goût sucré. Rappelons que la stévia, édulcorant naturel, possède un pouvoir sucrant 300 fois supérieur au sucre blanc ! Des règles faciles à appliquer qui présentent de surcroît l’avantage de ne pas perdre son énergie en s’étiolant. La gourmandise n’est décidément pas un défaut.