La névrose d’abandon nous concerne tous dans la mesure où notre naissance nous a coupés d’un contenant paradisiaque : le ventre de notre mère. Ce passage primordial laisse une trace mnésique à vie qui nous sensibilise au fil du temps avec la même intensité. Nous redoutons la solitude. Certes plus ou moins selon les individus.
Si vous en avez le désir, faites ce psy-test que Chantal Calatayud, psychanalyste, vous propose : répondez spontanément au questionnaire ci-dessous, cochez vos réponses et découvrez votre bilan après ce questionnaire...
| > Faire les courses à deux |
Oui |
Non |
| > Une maison isolée |
Oui |
Non |
| > Voyager au bout du monde |
Oui |
Non |
| > Le golf |
Oui |
Non |
| > Donner le moins possible |
Oui |
Non |
| > Un job à domicile |
Oui |
Non |
| > L’hiver, une saison magnifique |
Oui |
Non |
| > Un hamac |
Oui |
Non |
| > Des oiseaux en cage |
Oui |
Non |
| > Accommoder les restes |
Oui |
Non |
+ de non
On peut dire que vous êtes abandonnique au sens psychanalytique du terme. Toutefois, vous avez su faire de cette faiblesse une force : votre indépendance.
Autant de oui que de non
Vous avez tendance maintenant à faire un pied de nez à votre névrose d’abandon ! Il faut entendre par-là qu’ayant conscience de ce type d’angoisse, vous faites en sorte de ne faire porter ce poids à personne. Vous vous arrangez admirablement bien pour que vos agissements soient sereins car vous laissez de côté ce qui pourrait vous pénaliser. En fait, vous avez appris à vous protéger de vos démons.
+ de oui
Vous n’avez jamais réellement souffert d’abandonnisme. Votre nature positive vous pousse systématiquement à sublimer ce qui peut s’apparenter au manque, qu’il s’agisse d’objet dans le cas d’une perte ou d’un être humain qui vous quitte. Partant du principe que tout a un sens, vous arrivez à transformer une situation douloureuse en miroir qui vous renvoie l’issue favorable et opportune. Et ça marche toujours !
