De 22 à 25 points
Trop timide
Vous êtes gêné(e) par une timidité qui vos limite dans vos projets. Vous ne manquez pourtant pas d’idées. Et même s’il vous démange de les exprimer, une retenue excessive vous rattrape. Dépasser cette difficulté vaut la peine. Pour trouver l’énergie nécessaire, il vous suffit d’imaginer une certitude : Qui ne tente rien n’a rien… D’autre part, et c’est peut-être l’essentiel, passer à l’acte libère du mécontentement que l’on a de soi chaque fois que l’on n’a pas fait ce que l’on aurait pu faire. Sans compter que cette place vacante se trouve vite occupée par quelqu’un d’autre. Ce qui déclenche de surcroît chez vous, à tort, de l’irritation, voire de la colère. Ne rongez plus votre frein, d’autant qu’il vous est souvent reproché paresse, indifférence, manque de volonté… La timidité est décidément un bien vilain défaut. Engagez-vous, vous le pouvez. Vous serez respecté(e). Comment vous mobiliser ? En ne soumettant jamais vos projets à une relation affective, amicale ou professionnelle de votre propre entourage. Vous le savez : Nul n’est prophète en son pays et il paraît qu’il vaut mieux s’adresser au Bon Dieu qu’à ses Saints. Alors, allez-y. Vous en avez les moyens.
De 26 à 42 points
Trop pressé(e)
Vous connaissez la fable du « Lièvre et de la tortue ». Ça vaudrait tout de même le coup de la relire : Rien ne sert de courir, il faut partir à temps ! La pierre d’achoppement se situe-là. Ce n’est pas vous qui me contredirez car, en fait, si vous êtes perpétuellement pressé(e), c’est que vous êtes toujours en retard. J’entends ici que vous retardez systématiquement le démarrage de toute activité. Le fait de faire tout très vite, trop vite, présente l’énorme inconvénient de vous fatiguer rapidement, au point d’abandonner régulièrement la partie. Pourtant, vous avez les potentialités nécessaires pour mener à bien les tâches qui vous intéressent. Remédier à votre léger handicap quotidien requiert, de fait, peu de choses : vous limiter aux contraintes que vous pouvez réellement assumer. Ainsi, lorsque vous êtes sur répondeur pour terminer un dossier important, ne cédez plus à la tentation de répondre au téléphone. Ce type de supposition, qui casse toute potentialité, est légion. En reprenant cet exemple comme base de réflexion, je suis certaine que vous allez très vite identifier où ça dysfonctionne. Autrement envisagé : lorsque vous vous dites quelque chose, faites-le et tenez-vous-y quelles que soient les tentations séduisantes de l’extérieur ! Les très beaux résultats que vous obtiendrez constitueront, d’emblée, la matrice d’une volonté nécessaire au bien-être de votre existence. À cultiver !
De 43 à 66 points
Vous êtes volontaire !
Curieusement, vous pouviez en douter car vos journées, bien remplies, peuvent vous laisser penser que vous pourriez encore en faire davantage. Effectivement, la nature humaine est ainsi faite : le plus génère le plus, le moins attire le moins. En fait, la volonté demande, avant tout, d’objectiver si nos désirs sont raisonnables. Entendons : s’ils sont réalistes compte tenu de notre profil et de notre situation du moment. Malgré certains doutes que vous avez tendance à développer à votre égard, vous avez l’art de bien cerner vos limites, ce qui vous offre la possibilité de les dépasser, en toute connaissance de cause et donc avec prudence, dès que vous en sentez le moment. Lorsqu’on vous observe, il est surprenant de constater l’évolution constante de votre parcours : si la vie vous a donné de quoi démarrer dans les difficultés, vous les avez franchies allègrement. Il en reste quelques-unes sur le chemin ? Vos craintes de ne pas les surmonter sont liées uniquement à la nécessité de sentir que votre volonté grandit. Ce n’est pas pathologique puisque vous savez tirer les enseignements de vos résistances. Et puis, ne dites-vous pas vous-même, à qui veut l’entendre, que la vie n’est pas un long fleuve tranquille. Heureusement…